La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1512)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1506) -

… la punition n'en était qu'à ses premières heures ! … Lorsqu'ils eurent bien déchargé dans mon cul et ma bouche, les deux mâles étalons échangèrent leurs positions et je fus à nouveau doublement pénétré, que dis-je doublement besogné en de saillies des plus bestiales et sans modération. Les efforts que je devais faire pour parvenir à respirer entre deux enfoncements de l'énorme verge au fond de ma gorge me faisait presque oublier la douleur mélangée de plaisir de l'autre bite qui forçait et remplissait mon anus à un rythme soutenu par des puissants coups de reins générant de profondes poussées cadencées... Alors que je subissais les va-et-vient de cette double pénétration torride, celui qui prenait mon cul appliquait en même temps de très fortes claques fusant sur mes fesses rougissantes... et les poids qui pendaient toujours aux pinces placées sur mes tétons et mes couilles s'agitaient au rythme des virils coups de boutoir, mordant toujours plus la chair fragile ainsi tourmentée... Je n'étais plus rien, rien, juste un objet sexuel, une chose insignifiante que l’on use et sans modération dont deux créatures insatiables se partageaient les orifices dégoulinants de bave et de sperme… Les deux soumis-étalons jouirent à nouveau de concert, m'inondant d'un épais et abondant jet de leur semence trop longtemps restée prisonnière dans leurs couilles encagées. Mais je ne devais surtout pas espérer le moindre répit. Je fus mis sans ménagement sur le dos et l'un des deux vint s'asseoir sur mon visage, frottant sa raie sur ma bouche alors que je m’attelai tant bien que mal à lécher son cul, tandis que l'autre arrachait d'un coup sec les pinces qui mordaient mes couilles. La douleur fut intense, mais j'étais bâillonné par le cul épais de celui qui m'imposait ce face-sitting si pesant...

Un étalon ayant succédé à l'autre sur ma gueule d'esclave, je dus à nouveau lécher longuement et avec la plus grande application la raie et l'anus de celui qui me chevauchait maintenant.

J’avais perdu toute notion du temps et j'étais épuisé... aussi ne pouvais-je avoir aucune réaction lorsque se relevant, le black étalon me souleva comme une vulgaire poupée de chiffon. J’étais devenue totalement malléable et les deux étalons-soumis étaient si costauds, que je n'étais qu'un patin, qu’une marionnette, entre leurs volumineuses mains. Je passais de l'un à l'autre comme une balle dénuée de toute volonté... Enfin, après qu’ils se soient ainsi bien vidés les couilles, je fus mis à genoux devant la croix de Saint-André, les poignets attachés et bras tirés vers le haut et fixés à une barre. Ils me firent ouvrir les cuisses au maximum, exhibant ainsi mon sexe toujours contraint dans la cage et forçant mes lèvres, ils poussèrent chacun leur tour leurs énormes pénis dans ma gorge jusqu'à y jouir une fois encore, l'épaisse semence s'écoulant lentement en moi et sur mon visage…

Sans prononcer un mot, ils me crachèrent dessus avant de quitter la pièce m'abandonnant ainsi, épuisé, pantelant, couvert de sperme et de crachats, sous le regard d'une Chloé toujours attachée sur le fauteuil qui me regardait impressionnée par ce que je venais de subir. Nous restâmes ainsi longtemps, nus, attachés, muets... Nous nous regardions simplement et nous nous comprenions… Je devinais aisément qu’elle mouillait amplement de la situation bondagée qu’elle était en train de vivre, mais aussi et avant tout, de ce qu’elle vit, car son regard était aussi à l’évidence envieux d’être à ma place, d’être ainsi besogné sans ménagement… Puis, il y eut du bruit dans la pièce voisine... Après quelques minutes, Le Maître, le jeune Marquis d'Evans entra, suivi de Joëlle entièrement nue, se tenant bien droite. Ils n'eurent aucun regard pour moi, s'approchant du caméscope que le Maître éteignit avant de se tourner vers Chloé, la soumise attachée qui le regardait avec espoir. Il lui caressa le visage :

- Ainsi, tu as pu voir comment je punis les esclaves qui me déçoivent. Et ce n'était là qu'une entrée en matière.
Je n'en ai pas fini avec ce chien qui ne mérite même pas que je Me charge Moi-même de le châtier. Je veux que tu assistes à tout ce qu'il va subir afin que tu comprennes ce qu'est un véritable esclave sous Mon Joug. Car, pour rappel, si tu m'appartiens en tant que soumise, Je veux également que tu agisses parfois en dominatrice. Cela fait partie de ton apprentissage qui va se poursuivre ces prochains jours. J'aurai quelque chose pour toi demain. Mais pour l'instant, nous avons mieux à faire.

Tandis que le Maître parlait, Joëlle était venue me détacher et me tirant en laisse m'avait ramené à ma cage où elle m'enferma, avant de rejoindre le Maitre qui la saisit par les cheveux et l'attira à Lui, caressant ses seins, s'occupant à presser les tétons entre ses doigts.

- Embrasses la, ordonna Monsieur le Marquis à Joëlle qui se pencha sur Chloé pour l'embrasser à pleine bouche, longuement.

Le Châtelain défit les liens de la soumise et lui ordonna de se lever. Les deux femelles étaient debout, nues, aussi belles et excitantes l'une que l'autre. Allons, vous êtes belles et Vous m'appartenez, leur dit-Il, je veux vous voir vous donner du plaisir, ou plutôt, Donnez-moi du Plaisir à vous contempler. Soyez deux belles chiennes en chaleurs, deux catins et montrez-moi ce que vous savez faire en tant que femelles...

- Mais, je n'ai jamais... (une gifle interrompit Chloé)
- Qui t'a permis de parler. J'ai donné un ordre et J'entends que tu obéisses sans hésitation, quoi que je t'ordonne. Mets-toi à genoux et lèche la chatte de cette esclave... Je le veux !

Chloé s'exécuta sans plus dire un mot, enfouissant son visage entre les cuisses fermes de Joëlle qui maintenait sa nuque la pressant contre elle... en gémissant, Joëlle se laissa lentement glisser sur le sol, entraînant dans son mouvement la tête de Chloé toujours enfouie entre ses cuisses. L’esclave Joëlle, aussi impudique qu'expérimentée savait parfaitement ce qui plairait au Maître pour Lequel elle avait été formatée et dont elle était la propriété depuis la majorité du jeune Châtelain qui l'avait possédée de tant de façons, et dont elle ne pouvait seulement concevoir de ne pas se dévouer corps et âme, sans aucune limite à Sa satisfaction la plus absolue.
Joëlle était de la race de ces esclaves qui ne peuvent vivre et s'épanouir que sous le Joug implacable d'un Maître, dans une appartenance absolue, une dépendance totale, profonde et définitive. Même lorsque Monsieur le Marquis d'Evans la prêtait à d'autres membres du Cercle des Supérieurs, quoiqu'elle subisse, aussi douloureuses, avilissantes, contraignantes ou excitantes que soient les Exigences du Noble, quoiqu'Il exige de Sa chienne, joëlle s'exécutait avec un engagement total, une volonté sans faille de toujours donner le meilleur d'elle-même, de son corps asservi, quoiqu'il lui en coûte, elle ne vivait que pour Lui. Son appartenance était sa seule raison d’être, Lui obéir en toute chose restait sa seule raison d’exister, son entière dévotion était sa seule raison de vivre, tout simplement…

Et le Maitre en cet instant voulait voir joëlle et Chloé se comporter comme les plus impudiques des catins... Aussi joëlle entraînait-elle Chloé, encore inexpérimentée et parfois un peu gauche, dans une sarabande sensuelle et même terriblement sexuelle. Les corps des deux femelles soumises s'enlaçaient, s'unissaient, s'entremêlaient, leurs bouches léchaient, embrassaient, suçaient... C’était charnel et sensuel. Joëlle savait comment faire perdre toute notion du temps à sa partenaire. Et bien qu'un peu timide encore, Chloé se révélait une partenaire vraiment très chaude et ouverte. Il est vrai que pour la jeune analyste financière de haut niveau, tout comme pour l'esclave femelle, il s'agissait avant tout de satisfaire Celui auquel elle avait fait le choix irréversible de se donner entièrement, de s'abandonner, de se livrer à Lui et de Le satisfaire en toutes circonstances. Les deux femelles, se livraient ainsi à un fabuleux ballet érotique, leurs bouches, leurs seins, leurs chattes dégoulinantes de mille désirs ne formant plus qu'une créature unique faite de sensualité, d’extase, de plaisir, de jouissances... Têtes bèches, les deux jeunes femmes se livraient à un 69 époustouflant, leurs langues allant chercher ce petit bouton rose si sensible et leurs râles mêlés de salive et de cyprine étaient grandement approuvés par le jeune Marquis Edouard d'Evans qui Se délectait de l'ardeur sexuelle de Ses deux propriétés.
.. Ces ébats torrides ponctués d’orgasmes autorisés offraient un spectacle lubrique et lascif à volonté… Et le Noble se délectait allègrement en ne perdant pas une seconde de ce qu’il voyait sous ses yeux bleus … Après ce sulfureux 69, le Maître ordonna a Ses deux femelles en chaleurs de se goder mutuellement, en leur lançant, à portée de main, à chacune un énorme godemichet. Elles s’en saisirent chacune un exemplaire, et sous les ordres du Maître, elles se remirent en position du 69, mais remplaça leur langue par leur gode… Ainsi elles se pénétrèrent mutuellement et jouirent uniquement sous ordre pour y être autorisées...

(A suivre …)

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